L’indice des prix à la consommation a progressé de 4.8% (en croissance annuelle) en France au cours du mois d’avril et de 7,5% en Europe.

Même si l’invasion de l’Ukraine par les troupes russes a généré un choc imprévisible, les facteurs sous-jacents de cette inflation, comme les plans de soutien pas toujours bien calibrés et les politiques budgétaires et monétaires particulièrement accommodantes, étaient déjà présents.

La hausse des prix ne se limite plus à certains produits spécifiques, comme l’énergie, mais se répercute dans quasiment tous les secteurs d’activité. On peut dès lors s’attendre à des politiques monétaires qui deviennent rapidement plus restrictives impactant d’autant la croissance.

Comment, dans un environnement marqué par une croissance potentielle mondiale réduite, une poussée inflationniste, une normalisation des politiques des principales banques centrales, le conflit ukrainien et la résurgence de la COVID en Chine, protéger ses portefeuilles ? Par une poche actions capable, à moyen long terme, de reflatter les portefeuilles ? Par des stratégies de portage d’actifs non cotés ou immobiliers, capables d’offrir des rendements réels positifs … ?